Qu’est ce que le “Smart and Small Data” ?
Les spécificités des outils de Gestion de Patrimoine Nouvelle Génération
Depuis l’arrivée des systèmes informatisés dans le domaine de la gestion de patrimoine, il a toujours existé la difficulté de faire correspondre les capacités quasi illimitées de mémoire et de calcul des outils informatiques avec les capacités humaines pour :
Nombre d’expériences font valoir une préparation insuffisante se soldant par des outils s’effondrant sous leur propre poids de mise à jour et de gestion complexe au quotidien. Conscient de ces limites pour les avoir expérimenté antérieurement en tant que Maîtrise d’Ouvrage, les experts en Gestion de Patrimoine de Pandopia ont placé au cœur des développements informatiques ces problématiques intrinsèques à ce secteur. Suite à un travail collaboratif avec les experts informaticiens de Pandopia à la pointe des nouvelles technologies informatiques, il a été développé des outils de Gestion de Patrimoine Nouvelle Génération basés sur des approches systémiques accessibles via le web.
Avec l’approche systémique spécifique à ces outils Nouvelle Génération délivrés par Pandopia, il est désormais possible de palier aux manques constatés par les outils des générations précédentes pour fournir des outils sur mesure adaptés aux objectifs de chacun des gestionnaires de patrimoine. Les techniciens et chargés d’opération auront la satisfaction d’un outil limitant leurs interventions et fournissant des informations par défaut paramétrées en amont. Ainsi, les outils fournis par Pandopia ne sont plus des outils centralisés intégrant toutes les données et fonctions potentielles afin de satisfaire tous les clients sur une même interface mais des outils modulaires sur ses données d’entrée et de sortie afin que les utilisateurs disposent :
Les points ci-dessous fournit les avantages des outils Nouvelle Génération fournis par Pandopia au regard des objectif d’un gestionnaire de Patrimoine :
L’outil fournit des données de patrimoine exhaustives, avec une interface réalisée de façon à intégrer un maximum de données et de possibilités associés à l’ensemble des clients
L’Outil favorise une approche quantitative peu en phase avec les réalités opérationnelles.
L’outil ne fournit que les données de patrimoine adaptées aux objectifs du client et de nombreuses données sont paramétrables par défaut pour les cas récurrents
L’Outil favorise une approche qualitative adapté aux temps disponibles des équipes techniques et aux objectifs du gestionnaire de patrimoine.
Les données peuvent être modifiées mais aucune information n’est disponible sur l’historique, la date et le nom de l’utilisateur à l’origine de ces modifications
L’outil suppose une qualité parfaite d’intégration quelle que soit les utilisateurs sans conservation d’un historique pour des analyses et actions en terme de Management des Equipes.
Toutes les données disposent d’une traçabilité sur les modifications réalisées avec la date de modification et le nom de l’utilisateur à l’origine de cette modification.
L’outil intègre les difficultés opérationnelles de suivi et de management des équipes via une traçabilité complète des données" "Définir des requêtes, des rapports, des alertes propres à mes objectifs et avec une ergonomie en phase avec les différents utilisateurs
Les requêtes/rapports/alertes sont prédéfinies et la mise en place de nouvelle demande peut être couteuse ou difficile à mettre en œuvre du fait que l’outil a été conçu pour tout type de patrimoine et toutes les requêtes des clients.
Le Client doit adapter sa réalité opérationnelle à l’outil pour obtenir les données souhaitées.
Les interfaces et l’ergonomie est modulable afin de n’afficher que les données jugées prioritaires par le gestionnaire de patrimoine. Les requêtes/alertes/rapports sont conçus avec un langage en phase avec le discours de Maîtrise d’Ouvrage de l’utilisateur et non sous un langage technique informatique
Chaque client dispose de son outil sur mesure ce qui est cohérent avec la réalité opérationnelle des gestionnaires de patrimoine ayant chacun leur propre mode d’organisation.
L’accès Web tend à se généraliser avec des risques pour le passage sur ce type d’outil du fait du changement technique informatique associé au passage du local au Web : contrainte de sécurité, contrainte des échanges avec d’autres outils informatiques.
Les outils ont souvent été conçus pour répondre à une vision centrée sur la problématique d’un service du gestionnaire de patrimoine et non sur une vision transversale impliquant plusieurs services. Aussi les langages sont parfois inadaptés à une transversalité ce qui est particulièrement problématique pour la thématique très technique de l’énergie.
Les utilisateurs disposent d’un identifiant et d’un mot de passe leur permettant d’accéder via le Web. Les performances de sécurité ont fait l’objet de tests d’intrusion par des sociétés spécialisés en attaque d’outil web. Les données sont structurées de manière à permettre des échanges de données efficaces avec des outils externes.
A chaque utilisateur est défini des niveaux de droit et des interfaces en phase avec son rôle au sein du processus de gestion de patrimoine (Service Technique Travaux, Service Exploitation, Service Financier, Service Gestion Locative, Exploitant externe, Utilisateurs ou locataires…). L’outil a été conçu par des professionnels de la Maîtrise d’Ouvrage et de la gestion de Patrimoine et les interfaces sont adaptées à leurs spécificités. L’objectif est bien une vision transversale notamment sur la dimension énergétique.
Il est souvent annoncé des gains financiers via la mise en œuvre d’une gestion informatisée du patrimoine. Force est de constater que la réalité n’est pas forcément si évidente du fait des problématiques évoqués ci-dessus. En effet les temps de saisie et de mise à jour, les qualités limitées des bases de données, la complexité de la gestion des alertes/rapports/requêtes ne permettent pas de garantir un gain réel dans le temps et l’outil peut rapidement devenir un artefact de Direction peu utile aux équipes techniques s’ajoutant à la liste des tâches fastidieuses et des nombreux outils déjà en place. Le premier enjeu en termes de coût est donc de placer l’outil au cœur d’une démarche transversale impliquant les différentes équipes afin que les données soient fiables et exploitées de manière continu par tous.
Une fois ce premier aspect réglé, de nombreux coûts dissimulés associés au temps passé par les équipes et à la perte de motivation sont évacués et il reste à observer le coût de ce type d’outil au regard des outils classiques. Via l’approche systémique mis en place par les développeurs informatique de Pandopia, les coûts des outils de Pandopia sont bien inférieurs à la moyenne des outils classiques notamment du fait que les demandes en développement spécifique ou en demandes annexes sont largement limitées.
L’intégration de la thématique Environnementale (Energie/Eau) dans sa transversalité
Il est usuel d’apprécier un logiciel de suivi des performances environnementales et notamment énergétique comme un outil de contrôle pour énergéticien permettant une amélioration technique au quotidien des performances. Il est important de noter que la réussite d’un Management de l’Environnement intégrant un outil de suivi est directement corrélée à la réussite de l’implication :
Le fonctionnement des outils de Management de l’Environnement et notamment de l’énergie tels que ceux développés par Pandopia est repris de manière synthétique sur le schéma de principe suivant :
Ce schéma permet d’imaginer une intégration relativement large de la performance énergétique. Historiquement il existe des outils plutôt dédiés à la thématique de l’exploitation, d’autres aux optimisations tarifaires et enfin certains aux suivi de performances énergétiques des travaux. Les Outils de Pandopia permettent de s’inscrire sur une dimension transversale de ces services et ainsi favoriser des échanges et un langage commun basé sur des données partagées.
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Qu’est ce qu’un bâtiment Low-Tech ?
Le high-tech se veut une science de pointe fondée sur la complexité. Mais ses paradigmes de départ sont dans les faits singulièrement pauvres, car axés sur une notion tronquée de performance, et un réductionnisme de vue excessif : par exemple, pour les bâtiments, la performance est vue sous l’angle réduit de la consommation en kWhep/m².an ce qui implique, par exemple, l’absence de l’usager dont le comportement est alors normé par des textes réglementaires intégrés à des logiciels. Le résultat est l’apparition de bâtiments où l’usager dispose de peu de libertés et de capacités à s’approprier le bâtiment pour son mode de vie. Le bâtiment High-Tech par ses choix technologiques impose son mode de vie à l’usager qui s’adapte plus ou moins bien.
Le low-tech peut être perçu au premier abord comme la sciences et technologie du pauvre. Son apparence de simplicité (basée en partie sur une préférence pour des solutions simples et éprouvées) est trompeuse. C’est en réalité une science systémique ultra-moderne qui intègre de façon bien plus intelligente la notion de complexité. Ainsi la conception d’un bâtiment Low-Tech implique une réflexion approfondie sur la meilleure adéquation entre les besoins des usagers et le champs des possibles sociaux et technologiques ce qui peut mener aussi bien à des solutions vernaculaires qu’à des innovations sociales et technologiques.
Comment PANDOPIA intervient dans le cadre du bâtiment Low-Tech ?
PANDOPIA fournit des missions d’AMO pour des constructions ou des rénovations de bâtiment. La mission d’AMO se déroule lors des phases de Programmation, Conception et Réalisation de la même façon qu’une mission d’AMO environnementale (HQE) mais l’approche s’écarte radicalement de ces missions du fait que ces dernières se centrent sur des tableaux de bord et référentiel alors que nos missions Low-Tech se centrent sur les usages et les solutions qu’elles impliquent au vu du site d’implantation. C’est pour cette raison que nos missions de Conseil sont réalisés par des ingénieurs ayant une culture générale importante sur le champs des possibles technologiques et sur la réalité des fonctionnements en usage.
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